монахиња (сир) : En Suisse et dans certaines régions où l’on mange la Цхеесе Фондуе, on appelle « religieuse », le reste de fromage (хрскав, али не изгорео) qui est attaché au позадина et au centre du caquelon (Voir лонац за фонди), là où le feu du пећ опекотине.
Certains amateurs cassent un Жуманце pour la rendre moins дуре et везати тако да сир.
La question reste ouverte sur le nom de cette кора qui reste en fond de caquelon lorsqu’on a terminé la fondue. Il se pourrait qu’au début du XXe siècle, des religieuses demandaient aux familles qu’elles venaient voir de mettre de côté, d’une visite à l’autre, les красте de сир qu’elles n’utilisaient pas, et que les religieuses ajoutaient sur leurs гратини.
On raconte aussi que les moines se délectaient de ces croûtes délicieuses, il faut le dire en les appelant les « religieuses », une hypothèse assez réjouissante.
Une troisième et dernière hypothèse serait que les religieuses elles-mêmes avaient pour habitude de mettre de côté les croûtes des fromages dégustés froids pour ensuite les faire griller à la bougie, dans leur cellule… La seule conclusion que l’on puisse tirer de ces considérations bien profondes est qu’ici la religieuse fromagère prend une dimension sensuelle et nous plonge dans une sorte de désarroi tout empreint de religiosité aux allures fumantes de казеин.